PRESENTATION ET VENTE DES GRIGRIS DE SOPHIE





Je travaille avec de la feutrine, de la laine bouillie, des tissus, des fils, des perles, des boutons, des plumes et des coquillages...
Les grigris cela porte bonheur et le petit bonhomme qui danse sur mes étiquettes ,c'est aussi un porte-bonheur !
C'est un symbole de chance, c'est un emblème magique, un symbole totem.
Les grigris ce sont aussi des médailles religieuses glanées dans les brocantes, chez les Antiquaires, dans ma famille et qui sont de précieux talismans.

Voici donc ce que je voulais pour moi, pour vous, un triple porte-bonheur qui ne peut que réjouir le coeur de ceux qui le portent !







dimanche 28 mars 2010

VERNISSAGE AU BOCAL LE MARDI 30 MARS 2010



IL Y AURA DES HUITRES  ET DE LA SOUPE DE POISSONS !
UN VERNISSAGE DE CHOIX !
UN VERNISSAGE ORIGINAL ET FORCEMENT DÉLICIEUX !

mardi 23 mars 2010

VERNISSAGE LE MARDI 30 MARS 2010 AU BOCAL A REIMS

Nous vous attendons....

Nous vous espérons....






Huitres et soupe de poissons "maison" pour ce vernissage !


Possibilité de réserver une table ensuite au 03 26 47 02 51

LE BOCAL 27 rue de Mars 51100 REIMS

samedi 20 mars 2010

LES GRIGRIS DE SOPHIE ET LES PHOTOS D'APOLLINE





http://lesphotosdapolline.blogspot.com/



VERNISSAGE LE MARDI 30 MARS 2010 AU RESTAURANT LE BOCAL :

http://lesgrigrisdesophie.blogspot.com/2010/03/vernissage-le-mardi-30-mars-2010-au.html

jeudi 18 mars 2010

mardi 16 mars 2010

LES GRIGRIS DE SOPHIE ET LES PHOTOS D'APOLLINE









VERNISSAGE LE MARDI 30 MARS 2010 AU RESTAURANT LE BOCAL :



LA COLLECTION APOLLINE LEPETIT 


(cliquer sur le lien)

 

lundi 15 mars 2010

ANNE PAULERVILLE PARLE DES GRIGRIS DE SOPHIE ET DES PHOTOS D'APOLLINE !




Liens tissés : éclosion de mère en fille

Apolline et Sophie Lepetit

Les « Grigris de Sophie », c’est un jardin de tissu où fleurissent des pastilles colorées. Une petite entreprise de couture chamarrée contre la crise et la grisaille
Légèrement amarrés sur la voilure sombre d’un manteau ou d’un sac, les fils à nœuds de laine bouillie ou de feutrine déroulent les circonvolutions de leurs couleurs pour accrocher sur l’horizon souvent bien terne des vêtures quotidiennes des astres chatoyants à l’éclat velouté. Et le prêt-à-porter se fait prêt à partir pour quelque rêverie polychrome qui égaye l’œil.
On imagine un atelier exubérant comme un potager d’où surgiraient d’improbables coloquintes de textile, ciselées par des doigts de fée minutieux et imaginatifs.

Sophie Lepetit travaille les textures comme les couleurs ou les formes, et les grigris appellent autant le toucher que le regard. Impossible de résister à l’envie de caresser les pétales de feutrine d’une main distraite ou attentive, de faire rouler les perles sous la pulpe des doigts.
Les grigris portent bien leur nom : bien que pas gris pour deux sous, ils ont tout du porte-bonheur. De petits bonheurs portatifs, à promener avec soi, à tâter comme on touche du bois pour conjurer un courant fugitif d’inquiétude passagère ; et repartir, après avoir butiné un peu de gaieté, comme l’abeille qui s’envole, sereine, une fois sa moisson faite, et s’affaire à d’autres tâches.
Chaque grigris est unique, papillon multicolore né de la rencontre éphémère entre un bouton et un ovale de laine bouillie, une plume et un ruban de satin, une inspiration et quelques centimètres d’étoffe ; un regard, une histoire et des matières.


Dans cette collection particulière, au cœur de chaque fleur brodée par la maman, éclot une image née de l’imagination de sa fille. Un regard qui surgit, entouré par son doux nid de couleurs chaudes. Ou encore le portrait de la grand-mère de Sophie, couturière, qui préside aux heureuses destinées de ces trois artistes. Une transmission de fil en aiguille à travers les générations, dans une version lumineuse des trois Parques antiques. (La première file, la seconde déroule, et la troisième coupe.)
Mais Apolline, l’arrière-petite-fille, ne coupe pas court à cette lignée d’inspiration. Bien au contraire : au centre de ces enluminures textiles, se blottit un dessin ou une photo de la jeune fille. Autoportraits d’un regard attentif aux palpitations de paysages en miniature, images de splendeurs minuscules : une maison se reflétant entière dans la sphère nacrée d’une goutte d’eau ; un visage de bronze baigné de lumière par la pluie, la danse d’un brin d’herbe, le tricot de fer d’un grillage habillant l’horizon,…
Le don de voir le sublime dans l’infime.

Et la matière se fait conteuse : une trace patinée pour chaque âge, le temps qui passe raconté par la rouille, et l’histoire d’un amour de famille partagé pour le beau et sa fragilité, sertie comme le dessin d’une constellation dans l’album épars de ces lettrines de feutrine.

Anne Paulerville




http://anne.paulerville.over-blog.com/

dimanche 14 mars 2010

LES GRIGRIS DE SOPHIE ET LES PHOTOS D'APOLLINE

À quatre mains…..



L’aventure artistique des Grigris de Sophie a commencé par une collaboration avec une artiste-photographe (Véronique Valette), un artiste-graveur (Marie-Christine Bourven ), un dessinateur (Victor L.) puis très vite comme une évidence l’envie de travailler avec sa fille Apolline dans une idée de transmission…
Passé et présent se mêlent, dans Les photos d’Apolline la présence rassurante et bienfaisante de la grand-mère de Sophie ….couturière elle aussi et cette possibilité enfin donnée de sublimer le passé …
Quand deux passions se rencontrent , quand le désir de travailler à deux, d’unir deux rêves devient nécessaire ou comment Les Grigris de Sophie réenchantent aujourd’hui ce qui fit hier .
Voici donc cette collection très particulière, les photos d’Apolline dans les Grigris de Sophie ....





A suivre ..........................




jeudi 11 mars 2010

LES GRIGRIS DE SOPHIE VUS PAR ANNE PAULERVILLE


Les Grigris de Sophie : des couleurs et des fils


C’est un jardin de tissu où fleurissent des pastilles colorées. Une petite entreprise de couture chamarrée contre la crise et la grisaille

Légèrement amarrés sur la voilure sombre d’un manteau ou d’un sac, les fils à nœuds de laine bouillie ou de feutrine déroulent les circonvolutions de leurs couleurs pour accrocher sur l’horizon souvent bien terne des vêtures quotidiennes des astres chatoyants à l’éclat velouté. Et le prêt-à-porter se fait prêt à partir pour quelque rêverie polychrome qui égaye l’œil.

On imagine un atelier exubérant comme un potager d’où surgiraient d’improbables coloquintes de textile, ciselées par des doigts de fée minutieux et imaginatifs.

Sophie Lepetit travaille les textures comme les couleurs ou les formes, et les grigris appellent autant le toucher que le regard. Impossible de résister à l’envie de caresser les pétales de feutrine d’une main distraite ou attentive, de faire rouler les perles sous la pulpe des doigts.

Les grigris portent bien leur nom : bien que pas gris pour deux sous, ils ont tout du porte-bonheur. De petits bonheurs portatifs, à promener avec soi, à tâter comme on touche du bois pour conjurer un courant fugitif d’inquiétude passagère ; et repartir, après avoir butiné un peu de gaieté, comme l’abeille qui s’envole, sereine, une fois sa moisson faite, et s’affaire à d’autres tâches.

Chaque grigris est unique, papillon multicolore né de la rencontre éphémère entre un bouton et un ovale de laine bouillie, une plume et un ruban de satin, une inspiration et quelques centimètres d’étoffe.



Anne Paulerville

http://anne.paulerville.over-blog.com/